MARGIELA - ART DE VIVRE

Concevoir un projet créatif qui exprime de manière visuelle et importante une collaboration entre maison de luxe et mouvement artistique.

PHILOSOPHIE DE LA MAISON

-approche sur l'idée de décomposer un vêtement

-coutures, doublures et structures habituellement cachées exposées

-minimalisme conceptuel

-utilisation du blanc évoquant à la fois l'atelier et une toile vierge

-anonymat : laisser parler les créations

-narration : la maison va au-delà de la mode, chaque collection est un manifeste de concept particulier.

L’art de vivre dans une maison de luxe, c’est quoi ?

L’art de vivre pour une marque dépasse la simple décoration ; c’est une extension de son univers et de ses valeurs dans tous les aspects du quotidien. Cela inclut la manière dont les gens habitent, interagissent et consomment dans leur environnement.

L'art de vivre serait une ouverture naturelle pour Margiela. Après avoir redéfini la mode, les accessoires et plusieurs collaborations innovantes & artistiques, cette nouvelle gamme permettrait de continuer à repousser les frontières créatives, tout en créant un monde cohérent et original où la vision avant-gardiste de Margiela s'étend à tous les aspects de la vie quotidienne.

n°14

En collaboration avec Stephen Antonson, il peint le plâtre sur ses créations en couches successives à l'aide d'un pinceau, puis le sculpte méticuleusement et le ponce à plusieurs reprises pour obtenir des objets d'une beauté surréaliste. Aujourd'hui, couronné maître du plâtre par architectural digest, il réintroduit ce médium séculaire dans le commerce de la décoration d'intérieur avec sa collection de meubles, d'éclairages et d'accessoires.

L’art de vivre chez Margiela est une mosaïque de moments.
Chaque objet, chaque pièce porte en elle l’écho d’une vie passée, une trace d’émotion, un fragment d’histoire. Chez Margiela, l’ordinaire est réinventé, l’inachevé, le brisé, le disjoint sont élevés au rang d’essentiel.

Les coutures visibles, les fissures assumées, les matériaux marqués par le temps deviennent un langage. Une poésie de l’imperfection où l’usure révèle une âme, où chaque fragment raconte une histoire de transformation. Ce n’est pas la perfection que l’on recherche, mais l’authenticité : une célébration de l’art brut, du processus apparent, de la mémoire qui subsiste.

Et si chaque fragment racontait l’histoire d’un espace unique ?